Terre Espoir

Les Poules de Terre Espoir

 

Terre Espoir 26 novembre, 2009

Classé dans : Non classé — terreespoir @ 19:11

Bienvenue  « Terre Espoir » est un groupement de jeunes diplômés de l’université de Bamako au Mali   ayant comme but l’auto- emploi à travers la création d’une entreprise d’aviculture dans  la région de Bamako. Nous sommes au nombre de 3 personnes :  Bouréma DOLO, Oumar DARA   diplômés de Maitrise  en géographie développement  et  Alimata COULIBALY  diplômée de Maitrise en géographie  aménagement ayant  soutenu un thème de mémoire  de fin d’étude «  Aviculture dans les concessions rurales autour de Bamako »,   à l’université de Bamako), qui vaille que vaille  voulons  assurer notre  auto-emploi et lutter contre le chômage chronique qui ne cesse d’augmenter, car ce projet va créer 3  emplois permanents pour la première année.  Pour démarrer notre projet nous avons reçu un appui financier des amis : Français et Belges qui ont organisé des fêtes  pour récolter des fonds, ces fonds  nous  ont  permis de démarrer le projet dans le mois le décembre 2009.  Nos 500 poules pondeuses ont plus de 9 mois, nous ramassons déjà les oeufs depuis le mois de juin.

 Les 300 poulets de chairs  du mois de décembre ont été vendu en janvier. Cette vente nous a rapporté 350 euros de bénéfice

Convaincu de la précedante experience de poulet de chairs, nous avons acceuillis le 28 septembre dernier  300 poulets de chairs  qui seront en vente  vers la din du mois prochain c’est  à dire en  fin novembre. Merci   Terre Espoir 

 

 

Evolution actuelle de Terre Espoir 23 avril, 2011

Classé dans : Non classé — terreespoir @ 15:39

Evolution actuelle : Crée en décembre 2009 sur l’initiative de Bouréma Dolo, « Terre Espoir »  est un regroupement de 3 jeunes   tous diplômés en Maitrise Géographie à l’université de Bamako (Alimata Coulibaly, Oumar Dara, Bouréma Dolo.

Notre but  principal est de s’auto-employer à travers l’aviculture et le maraichage. Grace à l’appui financier des amisn un prêt à la banque, nous avons commencé en premier de faire l’aviculture  dans  un poulailler de location à 15 km de Bamako avec 500 poules pondeuses.

La production actuelle en œufs  est de 390 œufs par jour soit 13 alvéoles de 30  œufs, ce qui nous  donne une production mensuelle de 390 alvéoles vendu à 2,28 € l’unité. Nous avons une vente mensuelle de  890€

Les dépenses mensuelles

Aliments des sujets(poules)

549€

Frais de transport : aliments et œufs

38€

Salaire du Bassecouriers

53,35€

Location du Bâtiment (poulailler)

23€

Salaire des visites du vétérinaire

19€

Frais d’encouragement de la gérante

19€

Total

701,35€

La rentabilité mensuelle est  de : 890 – 701,35 = 188,65

Sur  cette somme  152,43€ nous sert d’un remboursement  de prêt  à quelqu’un tous les mois et jusqu’à juillet 2011. Il nous reste plus que 36,22€ comme bénéfice à chaque fin de mois pour notre regroupement. A partir du mois d’août prochain notre bénéfice mensuel s’élèvera à 188,65€

Fort du constat de l’évolution actuelle  Terre Espoir veut augmenter le nombre des poules  afin augmenter son revenue mensuelle à la prochaine  reforme des poules en décembre 2011. Car  certains frais comme le local, le transport des aliments, le salaire du bassecourier, vétérinaire et gérant nous reviens assez cher pour un nombre peu élevé des poules (500 sujets).

Nous souhaitons  augmenter de 500 sujets pour faire 1000 poules. Les 500 poules de plus ne couteront rien en charge supplémentaire à part l’alimentation, nous avons déjà un bassecourier, un vétérinaire, un poulailler, un gérant qui est membre de Terre Espoir et le frais de transport ne subira pas de changement. Ce qui va nous permettre de   gagner environ 750€ par mois avec 1000 poules.

Nous rêvons pour le moment puisque la finance est absente, mais avons l’espoir de l’avoir ….

 

 

MALI 15 décembre, 2009

Classé dans : Non classé — terreespoir @ 21:16

Présentation du Mali

Économie du Mali

  • Le Mali est l’un des pays les plus pauvre du monde. L’indicateur de pauvreté humaine (47,3 %) le classe 81e sur 88 pays en développement alors que l’indice de développement humain (IDH) positionne le Mali en 164e sur 173 en 2000.

  • Le Mali, classé parmi les pays les moins avancés (64% de la population vit sous le seuil de pauvreté), sort à peine d’une crise économique sous-tendue par les turbulences dans le secteur coton, seconde ressource d’exportation du pays après l’or.

  • Le taux de croissance du PIB à prix constant a été de 4,3 % en 2002, 7,2 % en 2003 et de 2,2 % en 2004. En 2004, cette détérioration est, selon le FMI, due à la baisse de la production aurifère (principale ressource) mais est aussi imputable à des chocs extérieurs : invasion acridienne, chute des cours du coton, hausse des cours du pétrole, dépréciation du dollar par rapport à l’Euro et crise ivoirienne.

  • Pour 2005, le FMI prévoit un écart de financement important, notamment en raison du retard pris dans la restructuration d’ensemble de la filière coton, dominée par la Compagnie malienne des textiles (CMDT) dont l’Etat est actionnaire majoritaire. La faiblesse des cours du coton constitue une menace pour un pays tel que le Mali. Aussi, il s’est associé au Bénin, au Tchad et au Burkina Faso pour demander à l’OMC la mise en place d’un système de réduction du soutien à la production cotonnière (subvention que les pays du Nord accordent à leurs propres producteurs) en vue de sa suppression et l’adoption d’un mécanisme d’indemnisation au bénéfice des pays producteurs du Sud. La France appuie cette demande.

  • Le potentiel minier est également très important. Au-delà, l’économie malienne demande à être diversifiée. Les privatisations, qui accusent un lourd retard, devraient attirer les investisseurs. Le Mali dispose d’un code des investissements comparable à celui des autres pays de l’UEMOA. Depuis 1987, une quarantaine d’entreprises publiques ont été privatisées. Le Mali a atteint en juillet 2003 le point d’achèvement de son programme PPTE (initiative pour les pays pauvres très endettés). Il devrait ainsi bénéficier de la récente décision du G8 relative à l’annulation de la dette multilatérale qui s’élèverait à 0,6 % du PIB par an, à moyen terme. En 2004, l’aide publique au développement, par habitant, est de 37,4$ en versements nets.

  • Le revenu par habitant au Mali, estimé à 370 $ est très inférieur à la moyenne pour l’Afrique Subsaharienne (510 dollars). En 2001, 63,8% de la population vit dans la pauvreté et 21 % dans l’extrême pauvreté.

  • Le Mali souffre de son enclavement. Ne possédant aucune façade maritime, il est dépendant des ports des pays de la sous-région, Abidjan était le principal port utilisé jusqu’au déclenchement de la Guerre civile de Côte d’Ivoire. Depuis, les ports de Lomé au Togo et Nouakchott en Mauritanie, ainsi que Dakar au Sénégal ont pris la relève. Mais les infrastructures routières insuffisantes sont un frein.

  • L’économie du Mali est avant tout agricole. 80 % de la population active travaille dans ce secteur qui représentait 44 % du PIB en 1995 (16 % pour le secteur secondaire et 40 % pour le secteur tertiaire). Mais la production agricole est faible, souffrant à la fois d’un manque d’infrastructure en milieu rural, de rendement faible trop lié aux variations climatiques. En dehors de la région de Sikasso, l’autosuffisance alimentaire n’est pas assurée.

  • Les industries de transformations sont peu développées et essentiellement concentré à Bamako. La plus grande partie de la population travaille dans le secteur informel. Les politiques d’ajustement structurel imposées par le Fond monétaire international (FMI) depuis les années 1970 a conduit les gouvernements à réduire les budgets sociaux consacrés aux dépenses d’éducation et de santé.

  • La dévaluation du franc CFA en janvier 1994 a plongé un nombre important de famille dans des situations d’extrême précarité. Ces politiques, tout comme la démocratisation du pays, ont cependant rassuré les investisseurs étrangers. Le Mali reste dépendant de l’aide étrangère. L’argent envoyé par les émigrés en Europe et particulièrement en France, originaire principalement de la région de Kayes, est une source de revenus essentielle, dépassant l’aide au développement octroyée par les « pays riches ».

  • Le Mali, avec les mines d’or de Sadiola, Morila et Yatela, est le troisième producteur d’or en Afrique (derrière l’Afrique du Sud et le Ghana) avec une production de 63 tonne en 2002, production qui a doublé entre 2000 et 2002. Cette production représente 12 % du produit intérieur brut du Mali et 67% des produits d’exportation (300 milliards de francs CFA). Entre 1997 et 2005, la production d’or a rapporté au Mali plus de 600 milliards de francs CFA.

La carte du Mali

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Fiche d’identité

  • Superficie : 1.240.190 km² (deux fois et demi la France)

  • La République du Mali est située au coeur de l’Afrique occidentale, ayant hérité de la colonisation, selon l’image d’un historien, « la forme d’un papillon aux ailes asymétriques ».

  • Le Mali s’étend du plein coeur du Sahara au nord, jusqu’à la limite de la zone des grandes savanes au sud.

  • le Mali partage 7.420 km de frontière avec sept Etats voisins : l’Algérie au nord, le Niger à l’est, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et la Guinée au sud, le Sénégal et la Mauritanie à l’Ouest. Le Mali ne dispose d’aucun accès à la mer et les ports de Dakar et d’Abidjan, par où passe l’essentiel de son trafic international, sont distants de 1.200 km environ de Bamako.

  • Point le plus haut : le Hombori Tondo (1155 m) situé dans la partie centrale du pays.

  • Relief: Le Mali est constitué à 90% de vastes plaines et de bas plateaux, dont l’altitude n’excède pas 300 m. Quelques massifs montagneux se dressent au milieu de ces étendues plates, tels que les Monts Mandingues, l’Adrar des Iforas et la falaise de Bandiagara.

  • La répartition de la population au sein du territoire malien est profondément marquée par les conditions bioclimatiques.

  • Le réseau hydrographique s’articule autour des bassins versants de deux fleuves, tout deux situés dans la partie méridionale du territoire, le Sénégal et le Niger. Ils assurent une part essentielle des transports. Toutefois, ces derniers ne s’écoulent pas de façon pérenne : le Niger est navigable six mois par an, entre juillet et janvier. Il forme une boucle longue de 1.700 km au sommet de laquelle il se divise en de multiples bras formant un véritable « delta intérieur ». Ses affluents drainent le sud-ouest et le nord-est du pays. Cette zone constitue un territoire de 50.000 km², soit environ 6% de la superficie totale du pays. Le fleuve Niger occupe une place prépondérante dans l’économie, le développement et l’organisation spatiale du pays.

 

 
 

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